
Travail en sous-effectif, évaluations individuelles culpabilisantes, primes aux résultats, objectifs impossibles à atteindre, peur du chômage, non-respect des règle sde sécurité, mise en danger de la santé physique et mentale... Les conditions de travail se dégradent de manière violente mais pas toujours visible. Ce phénomène qui pousse certains au suicide, n'est pas reconnu, pourtant il mine notre société. A qui profite le crime? Pourquoi ce silence?
Cette journée entend remettre le travail au coeur des rapports de force en décortiquant ses liens avec le capital et en déconstruisant les mécanismes d'aliénation ou d'exploitation au travail.
Rendez-vous le 7 octobre à partir de 9h30 à Beez (Espace Solidarité - rue de Namur, 47 - 5000 Beez)
Inscriptions le 30 septembre au plus tard: dominique [dot] lossoncepag [dot] be - tél. 081/26 51 54