Remise en cause de la liberté d’association, astreintes judiciaires, huissiers devant les piquets de grève, arrestations administratives, écoutes téléphoniques… Les mouvements sociaux, particulièrement les syndicats, sont de plus en plus confrontés à la répression policière et judiciaire.
Décrits comme « déviants », « irresponsables » voire « criminels », ces mouvements sociaux sont également victimes d’une stigmatisation médiatique, résultat de 30 ans de « rouleau compresseur » libéral.