Un temps pour débattre : de 9h30 à 12h00

L’actuel gouvernement fédéral persiste et signe : multiplication des mesures destinées à limiter drastiquement l’immigration ; criminalisation des sans papiers et de celles et ceux qui leur viennent en aide…

Face à ces décisions politiques qui n’ont pour effet qu’accentuer le rejet de l’autre, des mouvements citoyens se dressent contre cette vision anxiogène de « l’autre » et la discrimination qu’elle engendre.

Face à aux méthodes de management brutales, face à la dégradation des conditions de travail et de vie de nombreux travailleurs, comment construire des résistances collectives ?

Alors que le monde du travail est confronté à une offensive sans précédent, il s’agit de se nourrir des pratiques que des salariés construisent collectivement pour faire face à l’arbitraire dont ils sont l’objet. Car les nouvelles formes d’organisation du travail n’arrivent pas à empêcher de nouvelles mobilisations. Même si elles s’avèrent difficiles à construire, elles sont riches d’enseignements.

Arrestations dans les transports publics, rafles au parc Maximilien, volonté de réduire l’aide médicale d’urgence, projet de loi sur les visites domiciliaires… Ces dernières semaines, le gouvernement fédéral multiplie les décisions idéologiques à l’encontre des migrants plutôt que d’organiser un accueil digne pour ces hommes, ces femmes et ces enfants en transit…

Un temps pour débattre : de 9h30 à 12h00

Flexibilité, partenariat, responsabilisation,… autant de termes qui sont désormais détournés de leur sens initial pour servir les idéologies dominantes.

La perte de contrôle sur les mots préfigure souvent l’échec des idées progressistes, à qui le néo-libéralisme vole jusqu’aux slogans.

Il demeure pourtant essentiel d’analyser et de combattre cette instrumentalisation malsaine qui s’insinue chaque jour davantage dans nos esprits.

Pour en parler avec vous :

La Sécurité sociale, un brol d'assistés impayable ? Un système dépassé ?

Un projet, une BD, des rencontres...

Mandaye… un terme wallon qui désigne un moins que rien mais bon à tout. Un mot méprisant qui salit celui qui en est victime… mais aussi celui qui l'utilise.  

« TINA ». There Is No Alternative : il n’y a pas d’alternative.

La célèbre expression de Margaret Thatcher est tout sauf vraie. Des alternatives au capitalisme et à la pensée unique néolibérale existent. Elles sont construites par des femmes et des hommes qui, partout dans le monde, se dressent contre l’injustice, les inégalités, l’oppression. Beaucoup de ces alternatives sont simples, cohérentes et, avec un peu de volonté politique, pourraient être mises en œuvre dès aujourd’hui.

Un temps pour débattre : de 9h30 à 12h00

Décret « anti-avortement », décret « anti-immigration », construction d'un mur entre les USA et le Mexique… En quelques jours dans la peau du Président de la première puissance mondiale, Donald Trump a multiplié les démonstrations de force.

Fidèle aux promesses de campagne et à la personnalité du magnat de l’immobilier, les décisions du Président Trump ouvrent la porte à une forme instabilité à échelle mondiale. Les craintes face aux quatre années à venir sont nombreuses…

" A vot’ bon cœur m’sieurs, dames…"

En 2017, en Belgique, un enfant sur quatre continuera de naître dans la pauvreté.

Juste avant les fêtes de fin d’année, Viva for life a clôturé son édition 2016 sous les applaudissements. 3 352.310€ ont pu être récoltés grâce aux dons. Qu’il est difficile de se faire entendre lorsqu’on éprouve une indignation à contre-courant d’une trouvaille débordante de générosité et de « solidarité », qui plus est aux abords de la fête de Noël.

Pour sa campagne de sensibilisation annuelle, le CEPAG a décidé de remettre sur le devant de la scène une vieille idée toute neuve : la Réduction Collective du Temps de Travail (RCTT) !