La crise sanitaire actuelle occupe « à temps plein » l’ensemble des médias. Le Coronavirus fait passer toute une série d’autres informations au second plan, voire à la trappe.
On oublierait presque qu’il y a 34 ans, le 26 avril 1986, un des réacteurs de la centrale nucléaire de Tchernobyl explosait, provoquant la plus grave catastrophe nucléaire de l’histoire.
Ironie du sort, c’est précisément en ce mois « anniversaire » que de gigantesques feux de forêts, en raison d’une sécheresse inhabituelle, ravagent la région. Kiev, la capitale ukrainienne, et ses 3 millions d’habitants ont été confrontés, successivement, à une tempête de sable et à une pollution massive provoquée par les fumées du sinistre.
La zone entourant Tchernobyl est la proie des flammes, qui s’approchent dangereusement du site nucléaire désormais à l’abandon mais encore extrêmement radioactif. Faisant craindre de graves conséquences…
Ah oui, Tchernobyl, cela me dit vaguement quelque chose...
Les ravages, souvent irréversibles, que l’homme fait subir à la planète se rappellent toujours à notre souvenir. Avec ou sans coronavirus…
Précédents billets d'humeur :
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